Notre époque est celle des incertitudes sur nombre de sujets et nous sommes de plus en plus à percevoir que nos sociétés progressistes sonnent le glas quant au promesses qui furent les leurs. Nous assistons à une danse macabre en laquelle telles des
Les grands spécialistes de l'Etrange, généralement, traquent les énigmes des origines et recensent les traces de notre histoire inconnue à travers les vestiges universellement admis des grandes civilisations disparues ou mystérieuses, de Baalbeck à Machu-Pichu, de Kéops à Nasca, de Stonehenge à l'île de Pâques.
Lorsqu'ils s'arrêtent à l'hexagone, ne cédant pas à l'attrait de l'exotisme ou de l'expédition lointaine, c'est le plus souvent pour considérer uniquement les témoignages les plus explicites de notre histoire occulte, Notre-Dame et la tour Saint-Jacques, Carnac et Montségur, Chartres et le mont Saint-Michel, le Val des Merveilles et Rennes-le-Château, les châteaux d'Arginy et de Gisors, etc.
Naturellement, ces sites, ces monuments, d'autres encore tout aussi réputés, présentent un intérêt exceptionnel et méritent des études approfondies.
Aussi, dans le cadre d'une telle approche, serait-il tout à fait injustifié de ne pas renvoyer, entre autres, aux travaux de Pierre Carnac, Jean Phaure, Guy Béatrice, Séverin Batfroi, Lucien Richer, Michel Angebert, etc.
Notre propos ne nous permet pas d'analyser en détails l'oeuvre de ces chercheurs, mais il convient également de réserver une place toute particulière, dans ce panorama des trop rares experts de la France occulte, à Henri Dontenville qui, à travers son travail sur la mythologie française, est parvenu à établir une véritable et remarquable histoire et géographie mythiques de la France - c'est d'ailleurs le titre exact de l'un de ses ouvrages - accordant entre autres une importance bien spécifique à la Terre-Mère, à Belenos -l'Apollon gaulois - Belisama - la Diane gauloise, mère des Vierges Noires - à Épona, la déesse au cheval, à Mélusine, à Gargantua, etc. envisagés sous l'angle de la toponymie et des traditions locales.
Nous ne pouvons pas davantage nous soustraire à la nécessité d'évoquer Henri Vincenot. Certes, il s'agit d'un romancier que l'on classe en outre dans la catégorie des écrivains régionaux. Mais l'ensemble de son oeuvre romanesque puise aux sources du Sacré, tout particulièrement « Le Pape des Escargots » avec ses incessantes références à la « Vouivre », symbole vivant de la force tellurique, au courant vital, « Spiritus mundi », au Nombre d'Or et aux Templiers, à la mutation de l'homme et à la vocation profonde des cathédrales, au pouvoir du dolmen et aux vertus de la lune rousse... Sans compter l'impressionnant parcours initiatique auquel sont livrés ses deux héros, le sculpteur Gilbert de la Rouéchotte et Germain le Bourguignon Bien-Pensant, Compagnon Passant du Devoir, à travers le labyrinthe des plus beaux monuments religieux de la Bourgogne, à la poursuite de saint Michel qui n'est autre que l'Initié sachant entrer en contact avec la Vouivre et capable de la dompter...
"Le Pape des Escargots", chef-d'oeuvre initiatique, traité sur un ton humoristique et spirituel, c'est avant tout le livre de la grande Vouivre, qu'il faut respecter et apprivoiser, pour pouvoir profiter de ses bienfaits. Mais laissons à chacun le plaisir de la découvrir... Les hauts lieux constituent des sortes de caleras de notre Mère-terrestre. On peut les subdiviser en deux catégories : hauts lieux naturels et hauts lieux chargés.
Les premiers sont alimentés par les courants telluriques, véritables « Kundalini terrestres », sorte de système nerveux de l'écorce planétaire. Ils résultent de la différence de potentialité entre deux pôles dissemblables et suivent principalement le réseau tracé par les cours d'eau souterrains et les lignes de faille.
Ces courants telluriques furent quasiment tous connus et utilisés, depuis les temps les plus anciens par les cultes officiellement disparus. Les Celtes en furent sans conteste les maîtres les plus avertis et les plus conscients.
La connaissance et la domestication des propriétés telluriques conditionnaient sans aucun doute l'implantation de leurs tombeaux, de leurs temples et même de leurs villes. Les menhirs, véritables aiguilles d'acuponcture, neutralisaient ou intensifiaient l'action de ces mêmes courants telluriques. Il s'agissait aussi, parfois, de conjuguer leurs propriétés avec celles des rayons cosmiques. Le symbole de la croix traduisait, entre autres, ce mariage du tellurisme horizontal et du cosmique vertical. Le point d'intersection des deux branches marquant l'unité, harmonieuse et naturelle.
Il convient également d'établir une distinction entre les courants telluriques positifs et les courants telluriques négatifs. Les premiers sont propices à la méditation, à la création, au dynamisme en général. Les seconds engendrent le plus souvent l'apathie ou l'angoisse, la folie et les désordres psychiques les plus divers, voire le suicide. Les cas de cancers susceptibles de leur être imputés sont également innombrables.
Naturellement, une grande proportion des lieux telluriques anciennement « exploités » - par les Celtes entre autres - furent par la suite occupés et réaménagés par les grandes religions révélées. En France, Chartres constitue à cet égard une parfaite illustration de ce processus de récupération (lire notre texte sur le sujet sur ce site).
Les hauts lieux chargés sont des créations humaines, préméditées ou involontaires. Il s'agit d'édifices et de sites naturels - grottes par exemple - où hermétistes, magiciens et occultistes se livrèrent à des opérations cryptiques dans le but d'imprégner la pierre, de la doter, en quelque sorte, d'une « mémoire ». Et cela afin d'éveiller de futurs adeptes, de travailler leur inconscient pour qu'ils puissent retrouver plus facilement le sentier des anciennes traditions, des antiques connaissances. Il fallait que le flambeau puisse sans cesse être repris. À l'inverse, il importait parfois que l'intérêt de certains lieux soit préservé de la curiosité gênante des profanes ou des « apprentis sorciers », prétendus mages ou pseudo-initiés, marchands de Temple ou adeptes insuffisamment éclairés, aventuriers irresponsables lancés sans préparation adéquate sur les sentiers de la quête spirituelle.
Mais le plus souvent, les hauts lieux de France réunissent ces deux caractéristiques : les grands initiés des premier siècles du Moyen-Âge, puis de la Renaissance, choisirent des sites alimentés par le tellurisme naturel pour y construire des édifices qu'ils chargèrent ensuite. Naturellement, les effets de l'opération s'en trouvèrent décuplés.
Enfin, tout à fait à part, il faut considérer les hauts lieux privilégiés, d'essence supérieure, qui sont des points de jonction Ciel-Terre, comparables à des sas ou à des standards reliant l'Esprit à la Matière, le Cosmos à la Terre-Mère.
Leur étude déborde largement le cadre de notre approche et nous nous contenterons de noter au passage leur caractère variable et leur mobilité dans l'Espace et le Temps : tel lieu X..., à une époque donnée, perdra ses propriétés au profit d'un autre tout à fait anodin jusqu'alors : il y a simplement eu déplacement du point d'interférence, point d'interférence qui, répétons-le, échappe aux lois régissant les hauts lieux de type classique. Par exemple, nous citons léglise templière de Montsaunès qui remplace, ce siècle, un site secret templier dans le Beaujolais (que reconnaîtront facilement ceux et celles qui savent. Ce dernier sillustra de différentes manières (positive et négative) dans les milieux ésotériques les plus fermés du milieu français.
Actuellement, en France, si bon nombre de hauts lieux, jadis déterminants dans l'histoire de notre pays, sont maintenant éteints, par déplacement des forces telluriques ou usure de la mémoire des pierres, il en reste une quantité impressionnante ayant conservé leurs propriétés intactes.
A ces hauts lieux s'attachent souvent indistinctement des traditions de trésors cachés, des phénomènes de hantise, des souvenirs symboliques de l'implantation templière, ou des épisodes significatifs de notre histoire parallèle. Le plus souvent, il y a d'ailleurs juxtaposition de plusieurs ou de tous ces éléments sur un même site.
Aussi, la France secrète est-elle infiniment plus riche et plus diversifiée dans ses manifestations que l'on ne pourrait le supposer. Il n'y a pas que Bourges ou le mont Saint-Michel, loin de là, et l'on peut avancer sans crainte d'erreur, que ce pays occupe une place prépondérante dans l'univers hermétique de l'occulte et du fantastique.
Qu'ils soient fruits de la Mère-terrestre ou oeuvre de l'homme, les hauts lieux, sous forme de grottes, de fontaines, d'îlots, de forêts ou de châteaux, de chapelles, de cryptes, de pyramides, quadrillent littéralement le sol de France, attestant de l'importance des traditions occultes, et des connaissances initiatiques qui furent -et demeurent toujours - à l'honneur dans ce pays, et témoignent de l'intensité de son évolution spirituelle.
À tous les échelons du mystère, la France apporte sa contribution. Pour les amateurs de merveilleux et de rêve, il y a la profusion des trésors cachés, pour les détectives du « surnaturel », la vaste gamme des phénomènes de hantises avec ses poltergeists divers. Pour les chercheurs d'Absolu, enfin, l'héritage spirituel des Chevaliers au Blanc Manteau, de ces Templiers dont le souvenir est partout omniprésent et qui firent de la France leur terre de prédilection. Pays qui fut pour eux, en toute logique, même si cela peut paraître paradoxal, aussi bien celui de leur berceau que de leur bûcher.
Pays de France dont l'histoire officielle semble littéralement doublée par une véritable histoire parallèle.
Il serait vain de seulement vouloir tenter d'établir un inventaire exhaustif des trésors enfouis dans le sol français, qu'ils soient murés ou enterrés, ou immergés dans les eaux territoriales de l'hexagone.
Jean de Kerdeland, Robert Charroux et Henri de Lens - entre autres - se sont passionnés pour la question, ont travaillé sur le terrain et publié des ouvrages mentionnant l'existence de nombreux trésors français.
Pour ma part, dans « À la Recherche des Trésors Disparus » (éd. Belfond), j'ai relaté l'histoire d'un certain nombre de trésors français dont l'existence paraît indiscutable et les origines peu ordinaires.
On peut subdiviser les trésors en trois catégories :
- les trésors légendaires ou à clef, ou encore mythiques, mais véhiculant des enseignements ésotériques.
- les trésors anonymes.
- les trésors historiques.
Naturellement, c'est dans la première catégorie que l'on recense la plus importante proportion d'interférences entre hauts lieux et trésors cachés.
Plus schématiquement, on peut encore envisager une distinction entre trésors attachés à un lieu par une tradition plus ou moins vague, trésors relevant de personnages historiques mais dont on ignore l'emplacement précis, et trésors historiques se rapportant à un lieu déterminé.
Innombrables sont les magots se rapportant à la première catégorie, trésors des « druides », de menhirs et autres pierres levées, par exemple. Comme cas précis, citons le trésor des ruines de La Robertière. Pour les seconde et troisième catégories, retenons respectivement le trésor de Mandrin, et celui de Gilles de Bretagne au Guildo.
Les trésors cachés des hauts lieux, le plus souvent, sont d'origine celtique. Presque toujours, ils sont gardés par des dragons, des dames blanches ou des enchantements, voire des maléfices. Ce qui, le plus souvent, ne fait que les signaler à notre attention ! Exemple, parmi les milliers, dans les souterrains du château de Beaufort, assure la tradition, dort un immense trésor gardé par un dragon enchaîné... Or, ce château fut construit par Foulques Nerra, seigneur énigmatique s'il en est, sur l'emplacement d'un oppidum romain ayant lui-même succédé à une forteresse gauloise. Et Beaufort, haut lieu angevin, se trouve au cur d'une région riche en symboles et en légendes à clef, carrefour de traditions occultées comme on peut le découvrir par l'étude de la toponymie locale.
D'une manière générale, fantômes et revenants semblent faire preuve d'un attachement tout particulier aux régions ou nations d'anciens peuplements celtique ou germanique.
Aussi ne serons-nous pas étonnés de constater que ceux-ci, en France, se manifestent le plus souvent dans les provinces de l'Ouest, Pays de Loire, Normandie et surtout Bretagne, et de l'Est, Franche-Comté, Lorraine, Alsace. À ces grandes régions, viennent s'ajouter deux anciennes provinces : la Bourgogne et la Provence.
La première, correspondant à l'une des régions de la Gaule la plus peuplée, réunissait une forte concentration de cités sacrées, et de hauts lieux du druidisme. La seconde constitua, de nombreux siècles durant, le coeur même de la nation ligure, ce peuple pouvant être considéré comme l'un des plus mystérieux de la famille indo-européenne.
Idries Shah écrit que, selon les plus grands spécialistes hindous de l'occultisme, une puissance cachée, l' « akasa », serait à l'origine de certaines formes de magie et de certains cas de miracles. Et d'ajouter que celle-ci serait en relation avec le magnétisme.
Pour ma part, dans mon introduction de « Les Demeures de l'Impossible » (éd. Belfond), j'écrivais il y a dix ans : « Peut-être finalement existe-t-il dans l'Univers une force surpuissante, inconnue de notre conscient, celle qui est à l'origine de toute existence et de toute vie ? Par le biais des manifestations « paranormales », ne chercherait-elle pas tout simplement à prouver son existence, en choquant notre compréhension, en démolissant notre entendement, en brisant notre cartésianisme et nos étroites structures mentales ? Pour plus de commodité, je qualifiais celle-ci de « force X... » dans la suite de mon développement.
« Akasa » et « force X... », à défaut de constituer une seule et même entité, ne pourraient-ils se révéler complémentaires, le premier procédant du second, ou inversement à la limite ?
Mais cette quête de 1' « akasa » et de la « force X... », maintenant qu'une certaine approche scientifique, de la biologie à l'électronique, nous ouvre des perspectives quasi illimitées, alors que François Jacob, prix Nobel de médecine qui nous initia aux mystères de l'ADN, s'interroge sur la « conscience cellulaire », ne pourra prendre sa réelle dimension qu'une fois replacée dans le contexte naturel des hauts lieux.
En effet, les grandes hantises semblent en rapport direct avec le tellurisme (hauts lieux chargés). Donc, « Akasa » et « force X... » amplifiant leur puissance au contact des hauts lieux, c'est en étudiant les lois régissant leurs rapports que l'on cernera au mieux leur nature, leurs effets et leurs causes. Un lieu fort propice à une telle étude pourrait fort bien être Gréoux-les-Bains, ancienne forteresse templière, lieu chargé, sur un site tellurique fréquenté par les Celtes, familiers des vertus de sa source thermale.
Comme chacun le sait, l'Ordre du Temple est né en France, grâce aux efforts conjoints des premiers Capétiens, de Bernard de Clairvaux et de la famille de Champagne. C'est également en France que s'érigèrent les premiers bûchers destinés à ses Chevaliers et ce, curieusement, sur l'ordre de Philippe IV le Bel, le dernier des grands Capétiens.
De plus, les vingt-deux Grands Maîtres de l'Ordre descendaient tous d'illustres familles françaises, tout comme l'immense majorité de ses membres. C'est dire à quel point le destin de la France médiévale et de l'Ordre martyrisé semblait lié et nous pourrions citer d'innombrables autres exemples allant dans le même sens.
L'actuelle superficie de l'hexagone était répartie en cinq Provinces avec chacune une Grande Commanderie à sa tête : France (Paris), Bourgogne (Voulaine-les-Templiers), Poitou-Aquitaine (Poitiers), Auvergne (Angoulême) et Provence-Languedoc (Saint-Gilles-du-Gard). L'ensemble regroupait plus de trois mille établissements, casais, fermes, granges, commanderies, baylies...
Présentement, dans la majorité des cas, les vestiges templiers sont anonymes ou utilisés à des fins totalement étrangères à leur destination initiale. Aussi serait-il impensable que de vouloir dresser une liste exhaustive et exacte des lieux templiers de France.
Néanmoins, il est possible de recenser environ trois cents sites indéniablement templiers, reconnaissables par leur architecture, ou mentionnés dans différentes chartes et documents, dont certains peuvent s'avérer particulièrement intéressants pour ceux que passionnent les mystères du Temple : Sours, La Guerche, Montfort-sur-Argens, Coulommiers, Bure-les-Templiers, Arville, etc.
Là encore, il ne faudra pas perdre de vue que toutes les commanderies templières d'importance étaient implantées sur des hauts lieux et les Chevaliers de l'Ordre connaissaient aussi bien, si ce n'est davantage, que les Celtes, les propriétés des courants telluriques formant entre eux une véritable géographie sacralisée, et l'art de les utiliser. L'exemple breton paraît particulièrement significatif à cet égard avec, entre autres, la Commanderie de Carentoir érigée sur l'une des plus importantes lignes de failles du pays, et à laquelle s'attachent de curieuses légendes...
Il existe un décalage flagrant entre l'histoire officielle, dispensée et reconnue par tous les historiens et professeurs orthodoxes, et celle qui traça réellement la trame de la destinée de notre pays. Celle-ci, discrète, oubliée, occultée, n'est jamais enseignée en place publique. Elle demeure l'apanage de quelques cénacles qui en détiennent les arcanes et savent se souvenir.
Et que l'on ne confonde pas cette histoire parallèle, sous-jacente à l'origine des mouvements profonds du pays, avec la méta-histoire : celle-ci, discipline géniale au demeurant, n'en tire pas moins ses enseignements et ses grandes directions à partir de faits reconnus et entérinés officiellement.
Or, pour notre propos, il s'agit véritablement d'histoire secrète.
Certains noms semblent marquer les carrefours de celle-ci. Souvent, ce ne sont pas les plus connus. Parfois même, ils donnent l'impression de surgir de nulle part et passent presque inaperçus au second plan de la scène. Pourtant, ils ont marqué le cours de ce qui devait être. Noms de fiefs ou patronymes, ils paraissent conférer à ceux qui les portent, lieux ou hommes, un destin extraordinaire. Sont-ce les êtres qui les recherchent ou une volonté supérieure qui les leur confère, telle une bannière ou un signe qu'ils devront tour à tour brandir ou occulter ?
Au cours des siècles, ils apparaissent, s'estompent, reviennent... On se bat ou on se marie pour les posséder, puis on les donne, ou on les vend comme si ceux qui les arboraient n'en étaient pas les véritables maîtres : l'Histoire se fait, ils font l'Histoire, bien davantage que les puissants de ce monde, rois, ministres ou chefs de guerre astreints aux regards de la foule.
Peut-être s'agit-il d' « initiation par transmissions familiales »... Peut-être ces noms sont-ils chargés d'un étrange pouvoir et transforment-ils magiquement ceux auxquels ils reviennent, car jamais leurs oeuvres ne sont médiocres...
Ou bien ces derniers avaient-ils su se rendre maîtres des hauts lieux, tout simplement, afin, les ayant domestiqués, d'y puiser sans cesse une intarissable et féconde énergie ?
D. Réju
Ce texte remarquable a été écrit par D. Réju il y a près de 30 ans
et se trouve plus que jamais d'actualité.