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Notre époque est celle des incertitudes sur nombre de sujets et nous sommes de plus en plus à percevoir que nos sociétés progressistes sonnent le glas quant au promesses qui furent les leurs. Nous assistons à une danse macabre en laquelle telles des

La Méridienne de Paris

La Méridienne de Paris

 

En novembre 1998 Monsieur Paul Chemetov annonçait "  Célébrer le siècle et le millénaire, c’est affirmer que nous avons habité le temps et que nous allons continuer à le faire par-delà la finitude de chaque destin individuel. ". (…)

C’est ainsi que sera décidée l’édification d’une ligne d’arbres traversant la France dans sa plus grande longueur et tout au long de laquelle un gigantesque pique-nique se déroulera le 14 juillet 2000 (…). Ce tracé occupant la longueur maximum du territoire le partage également en deux parties quasiment égales, ne reprend ni plus ni moins que l’ancien ‘Méridien Zéro’ dit ‘Méridienne de Paris’(…).

Le projet de P. Chemetov sera donc de faire resurgir de l’oubli cette droite fantastique en la concrétisant avant tout par un tracé fait d’arbres aux " essences de longue vie, celles que l’on dit millénaires : chênes dans le Nord, oliviers dans le Midi, espèces d’altitude dans la traversée du Massif Central et les Pyrénées ". (…)

 

  • Aujourd’hui nous savons que le ‘Méridien Zéro’ est celui de Greenwich et non plus celui de Paris. Cette redéfinition du point zéro date de 1884 (…) La méridienne de Paris était un trait rouge qui, nous le verrons plus loin, montrera sur le territoire la ‘Ligne Rouge’, Rousse, ou encore Rose-ligne. Greenwich signifie ‘Sorcière verte’ (…)

     

(…) En 1668 Colbert réclame impérativement ‘des cartes géographiques de la France plus exactes que celles qui ont été faites jusqu’ici.’ La mission de l’établissement du ‘Châssis général’ incombera à l’abbé Picard. Ce dernier deviendra par son travail méticuleux, en 1681, l’instigateur du principe de la triangulation, puis de l’importance du méridien de Paris dans les calculs concernant la forme de la Terre. La première étude mondiale aura lieu en 1668 durant laquelle l’abbé mesura un arc de méridien terrestre sur une distance de 130km entre Malvoisins, Essonne, et Sourdan dans la Somme. (…).

Depuis l’Antiquité l’Orient sait que la terre est sphérique, et vers 240 av . J.C.Erastosthène en calculera le rayon terrestre avec une précision de 10%. La méridienne établie par Cassini entre Dunkerque et Perpignan laisse apparaître le globe terrestre légèrement allongé selon l’axe des pôles (…). Il sera définitivement prouvé que la Terre est aplatie aux pôles. Pour ces calculs astronomiques il fallait un lieu de référence à la fois pour les recherches, pour les observations et aussi afin de concrétiser, et conserver, ces résultats. Ainsi naît en 1667 aux confins de Paris, sous l’impulsion de l’Académie Royale des Sciences, l’Observatoire Royal. Colbert fera venir du conté de Nice un certain Jean-Dominique Cassini (1625-1712), et Louis XIV lui confie la responsabilité de l’Observatoire de Paris. (…).

(…)°Les 4 ‘directeurs’ de l’observatoire furent tous membre de l’’Angélique’ où ils occupèrent les plus hautes fonctions de maîtrise (…). Plus curieusement encore, ils écrivirent une sorte de document personnel (…). Dans cette série de ‘cahiers Méridiens’(…), où il y était question de relevés accentués sur certains points du territoire, on y note une insistance remarquable pour des sites dits ‘archéologiques’ situés uniquement sur la méridienne de Paris. (…).

22 décembre 1666 ( !), 1ère séance de l’Académie Royale des Sciences et création immédiate de l’Observatoire Royal. 7 mars 1667 achat (effectif le 8 mars) du terrain à cet effet. 21 juin ( !) est tracé sur le terrain le plan des bâtiments tel qu’on le voit aujourd’hui. (…) " Le plan médian de celui-ci définira désormais le méridien de Paris ou méridien origine pour la France ". (…)

Après l’acte de baptême des bâtiments voyons le berceau. Le lieu d’implantation : l’endroit était situé sur des domaines exclusivement religieux : l’abbaye de Port-Royal, le noviciat des Pères de l’Oratoire et le noviciat des Capucins. Les plans seront l’œuvre de Claude Perrault, frère de Charles Perrault auteur des contes de ‘Ma Mère l’Oye’. Pour mémoire nous retenons que les deux frères sont affiliés à une société ‘Angélique’ (…). Le sous-sol choisi est celui de très anciennes carrières aménagées en catacombes et en une véritable citadelle souterraine labyrinthique bien connue à l’époque par des initiés de différentes tendances ésotériques et magiques. Perrault tenait, à ces effets, à ce que l’édifice majeur ‘s’axe’ sur son puits zénithale et non l’inverse ! (…).Perrault explique (…) l’utilité historique de bâtir autour du puits zénithal afin de conserver intact l’accès à la cavité souterraine qui sera connue sous le nom de ‘Nostre Dame Soubsterre’. On accèdait à cette ‘antyque Chaspel’ par quelques escaliers à vis et on y contemplait ‘admirablement’ une petite vierge noire retrouvée lors des travaux (…). Plus tard certains alchimistes et pas des moindres considéraient cette ‘crypte’ comme seule capable de donner les ‘moments’ propices aux différentes phases du Grand Oeuvre, et d’y récolter le minéral seul capable d’ouvrir les travaux sur la Matéria Prima. Ce lieu alchimique semblait connu sous le vocable de ‘Pierre brute du Grand Art’. (…) L’Observatoire Royal aurait reçu d’illustres visiteurs curieux, ou savants, parmi lesquels se distinguent plusieurs fois messieurs Reynaud Levieux, Nicolas Poussin et des notables religieux à majorité cartusienne.

La profondeur du puits zénithal fut fixée à 28 mètres et 27 m pour la hauteur du bâtiment, ce qui donne un hauteur totale de 55m. L’utilité première prévue pour l’observation stellaire fut rapidement délaissée., et ce ne sera qu’en 1851 que Foucault réalisera sa seconde expérience du pendule rendue célèbre par Umberto Eco. Puis ce sera, pour Foucault, en 1862, la 1ère détermination de la vitesse de la lumière toujours dans ce même local.

(…).Il fallait, dès la fin du XVIIIe S., trouver un système universel permettant tous les échanges possibles : masses, longueurs, capacités, entre toutes les nations et sous réserve que ce système ne présente " rien d’arbitraire ni de particulier à la situation d’aucun peuple sur le globe ". Et le méridien zéro donna naissance à l’ancêtre du système décimal : le premier mètre étalon ! Il fut établi que le Méridien de Paris servirait de base à la nouvelle uniformisation des mesures.

Le 10 septembre 1799 le nouveau système est sanctionné. (…). En fait notre système décimal fut défini " comme la dix millionième partie du quart du méridien terrestre "… donc du méridien zéro de l’époque : celui de Paris. (…).

- La France, dès 1789, voit son territoire entrer dans la forme géométrique d’un hexagone presque parfait, en tous cas indiscutable.

 

  • Puis notre pays sera déclaré ‘Point Zéro’ des continents émergés. Dès 1912, officiellement un point précis sur l’île Dumet, au large de la Bretagne et près de Belle Île. Ce bout de terre perdu dans les flots (avec son curieux château RA) où depuis l’Antiquité est situé superstitieusement et symboliquement le ‘Nombril du monde’ entrera dans l’histoire des points ‘balises fixes’ de notre planète (…).

     

     

  • Ces raisons insolites, étranges, mais authentiques, poussèrent elles l’Eglise à considérer très tôt que la terre des francs est sa ‘Fille Aînée’ (…).

     

     

  • La Méridienne de Paris traversait la France de Dunkerque à Prats de Mollo qui est l’ultime et plus élevé point construit avant la frontière avec l’Espagne. Ce dernier site balisant le méridien se trouve dans les terres de Roussillon. Etrange pays dont les seigneurs furent les ‘Cousins’ des rois de France (…) et dont les premières dynasties remonteraient aux Urséolus légendaires : les seigneurs Ours ! Or le symbole de l’Ours nous renvoie au méridien, à savoir ‘l’Axis Mundi’ (…), l’axe du Monde, présidant aux constellations de la grande Ourse et de la Petite Ourse, donc la Polaire axe immobile de notre voûte céleste. Mais cette ultime étape de la méridienne nous rappelle qu’elle est tracée de couleur rouge et que le Roussillon est aussi le ‘Sillon Roux’. Et un sillon roux est une ligne rouge ! (…). On dit encore que les terres de Roussillon abriteraient le tombeau d’un monarque dont la résurrection sauverait le monde… et aussi que Marie-Madeleine y serait venue après son arrivée aux Saintes Marie de la Mer. Marie-Madeleine dont les Roussillon affirmeront en tous cas savoir où sont vraiment les vraies reliques et les transféreront à Vézelay étape incontournable sur la route de Compostelle. Les Roussillon encore dont le nom issu des Russéolus aurait un lien avec le rouge-sang (encore) si cher à Rabelais et à Gargantua, et de là aux légendes des rois géants des Pyrénées, pays de Pra de mollo, mais surtout de Montréal de Sos, véritable Mont Royal avec sa fresque du Graal enfouie au fond d’une grotte et retombée dans l’oubli (…). La liaison avec le sang serait alors faite avec les Ourses du blason de Sabarthes (adossées à une coupe du Graal) et la couleur verte qui est l’émeraude du calice sacré … bouclant ainsi la relation avec l’Ours du roi Artus et les romans de la Table Ronde en queste d’un Graal que les Cathares de Montségur évacuèrent sur la commanderie de Capoulet !

     

     

  • Notre méridien zéro nous donnait la garde du monde ‘mesuré’ et cadré par une ligne rouge gardienne de tous débordements incontrôlés. C’est encore cette ligne rose, déjà aperçue, et qui se concrétise, dans l’affaire de Rennes-le-Château par la Ste Roseline célébrée le 17 janvier. 17 janvier… date formidable du dépôt par Perrault et Cassini, dans l’oratoire prévu à cet effet, de la statue de la vierge ‘noire’ au fond des souterrains de l’Observatoire de Paris ! 17 janvier fête aussi de St Genou… sans que l’on ne sache s’il s’agit du patron des initiés au genou découvert, de celui de Rabelais, ou de celui de Grasset d’Orcet : " JE – NOUS " pour genou. 17 janvier fête enfin de St Sulpice ancien évêque de la cathédrale de Bourges. Bourges ville traversée par la méridienne zéro certes, mais aussi capitale des Bituriges qui se disaient ‘Rois du monde’. St Sulpice encore, en revenant sur Paris, qui est le vocable d’une église abritant un gnomon astronomique juste situé sur le passage du méridien de Paris ? mais aussi une église qui tient une place prépondérante dans l’affaire de Rennes-le-Château et le fameux méridien.

     

     

  • Dans cette église de St Sulpice on trouve une peinture de Delacroix ‘Héliodore chassé du temple’. Rien, jusque là de bien mystérieux. Pourtant nous notons que ce travail se trouve dans la ‘Chapelle des Sts Anges’ (doit-on y trouver une similitude avec les sociétés ‘Angéliques ?). Et, en regardant cette peinture de plus près, nous observons que 5 personnages ont le genou droit découvert, ce qui nous donne en langue ‘oiselée’ (Grasset d’Orcet) cinq genoux = ‘Saint genou’ retour au 17 janvier ! Il nous manque st Roseline ? qu’à cela ne tienne, car sous la chapelle des Sts Anges s’en trouve une autre souterraine sous le vocable du ‘Rosaire’ où était vénérée autrefois une sainte Roseline (…).

     

    Héliodore chassé du Temple par les Anges

     

  • Nous savons que le genou des Initiés est le gauche, et Delacroix choisit le droit cinq fois. Admettons, un instant, que cette inversion ait une importance, et c’est l’avis de celui qui travailla sur l’affaire de R.L.C. sous le pseudonyme de PUMAZ, on peut en effet reporter sur une carte du secteur un tracé, très simple, dont la pointe majeure indique la commune de Arques dans l’Aude. Bien entendu on ne peut que supposer le hasard le plus pur. Pourtant dans ce tracé inversé sur la fresque de Delacroix la colonne principale prend place sur la carte sur le tracé du méridien de Paris et le même méridien passe à coté de la commune de Arques !

     

    Le menhir de Peyrolles près de Serres

     

  • Rendons nous à Arques. Le méridien passe en vérité sur la commune voisine à quelques centaines de mètres d’Arques, et plus précisément il coupe la R.N.613 au lieudit ‘ Les Pontils’. En ce lieu, il y a quelques années, se dressait encore un tombeau dont la forme était identique à celui représenté sur le célèbre tableau de Nicolas Poussin : ‘Les Bergers d’Arcadie’… Le lieu ayant été maintes fois violé et saccagé par de minables chercheurs de sensations le propriétaire, excédé à juste titre, décida de faire raser le monument. Cependant de nombreuses représentations existent dans plusieurs ouvrages.

     

     

  • Le méridien de Paris pourrait il apporter des précisions sur cette fameuse et mythique région de l’Arcadie ? Cette région doit son nom à Arcas dont la compagne est Artémis. Celle-ci devint, après sa mort, la constellation de la Grande ourse et Arcas devint l’étoile Arcturus : le gardien de l’ours. Mais encore l’Arcadie est l’omphalos, centre et nombril du Monde. De plus cette région est celle d’Hermès, donc le berceau de l’hermétisme. Le mythe de l’Arcadie se retrouve également dans le symbole du loup (le roi Lycaon) et présiderait aux créations de Troie et de Rome. En ce qui concerne Troie il est remarquable que les rois mérovingiens, et ceux d’Angleterre se soient dit d’origine Troyenne. La région d’Arques en ce cas pourrait avoir été intimement interprétée, puis choisie symboliquement, comme une représentation idéale du mythe d’Arcadie… sans doute avec des raisons ésotériques qui nous échappent maintenant, mais peut-être encore accessibles au moment de la méridienne. Les raisons d’être, de cette dernière, n’étant plus de mise ou ayant achevé leurs fonctions, le méridien d’origine (alors le bien nommé !) au XXe S. non seulement n’avait plus aucun rôle prépondérant mais pouvait, au contraire, permettre de comprendre ce qui ne devait pas, ou plus être compris !

     

     

  • La visite de Nicolas Poussin, auteur des ‘Bergers d’Arcadie’, en compagnie de Reynaud Levieux, dans les carrières sous ce qui deviendra l’Observatoire, passage et origine de la méridienne zéro… cette même méridienne coupant sur un tombeau dit ‘d’Arques’ permettaient de renouer le lien et de rester sur… le ‘bon chemin’ donné par N.D. de St Sulpice.

     

     

  • Mais ce n’est pas tout. Dans l’église de Arques deux tableaux nous attendent, l’un passe pour avoir été commandité par l’évêque d’Alet (Aude), Mgr Pavillon, à… Reynaud Levieux !

     

     

  • L’autre tableau ? il représente la ‘Ste Famille’ et comporte un détail frappant qui conduit directement sur les terres des seigneurs de Perillos (…). Le sire de Perillos revenant de croisade trouve son fief et toute la région roussillonnaise dévastés par une créature géante le Babaos. Il finit, après bien des péripéties basées sur le chiffre 3, par détruire ce monstre dévastateur. Pour témoigner de la destruction de la bête le seigneur lui arrache trois cotes, une pour lui, une pour les notables de Perpignan et la troisième qui restera encastrée dans le porche d’entrée de la chapelle de Prats de Mollo (…).

     

     

  • Enfin il nous semblait impossible d’aborder ce sujet sans faire état des travaux des écrivains Jules Verne et Maurice Leblanc.

     

     

  • - Jules Verne(1825 – 1905) est à remarquer dans le registre de la méridienne de Paris. Sans jamais en faire état ouvertement l’étude et le développement de cette ligne rouge sur le globe, et surtout certaines de ses conséquences sur le Sud de la France, lui sert de fil conducteur traçant tel l’Arcane des compagnons constructeurs, la trame philosophique de plusieurs de ses romans. L’auteur appartenait à des milieux d’initiés notoires ainsi qu’à des sociétés très discrètes. (…) Notons dans son œuvre quelques titres concernés: ‘Clovis d’Ardentor’, ‘César Cascabel’, Voyage au centre de la Terre’ avec son héros Axel, anagramme facile de ‘l’axe’, ‘le Sphinx des glaces’ et autres aventures ayant pour thème la course aux pôles, donc de l’axe du monde. Les ouvrages de Franck Marie : " Le surprenant message de Jules Verne ", et de Michel Lamy : " Jules Verne initié et initiateur ", sont pour nous incontournables en la matière.

     

     

  • - Maurice Leblanc (1864 – 1941) est un détour indispensable dans le domaine méridien et énigmatique. On peut pratiquement dire que la majorité de ses romans concernant Arsène Lupin (loup) font allusion à la méridienne, ses extériorisations et ses secrets, surtout ses finalités dans le Sud de la France, mais aussi ses ramifications étroites avec l’Histoire ‘occulte’ de notre territoire. Maurice Leblanc dut avoir, lui aussi, des relations directes avec les milieux initiatiques… mais était-il initié, initiateur… ou les deux simultanément ? Seuls ses romans peuvent nous le laisser deviner. Nous parlions de l’évêque Pavillon d’Alet, il suffit, à ce propos d’observer que ‘813’ est le titre d’une aventure d’A. Lupin… et la date fondatrice de l’abbaye d’Alet. Quand à la ‘Roseline’ l’auteur ne tente même pas de la dissimuler dans les replis de ses romans, il la nomme ouvertement. L’ouvrage de Patrick Ferté : " Arsène Lupin Supérieur inconnu " est l’ouvrage de référence indiscutable en la matière.

     

     

  • D’autres auteurs et personnages mériteraient largement leur place dans le tracé rouge du méridien de Paris, nous pensons en particulier à Arago, l’abbé Boudet, Méchain, etc…la place manque cruellement pour poursuivre avec eux notre parcours méridien. (…)

     

     

  • André DOUZET

     

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Chiffres méridiens.

La méridienne zéro rencontre le 45e parallèle dans le Cantal à Ayrens.

Longueur totale 960.100 mètres.

Au niveau zéro (mer) : Dunkerque. Au niveau le plus élevé : +2400m à Prats De Mollo.

La méridienne traverse 337 communes et 20 départements. A Paris elle croise : l’Observatoire ( !), le Sénat , la Pyramide du Louvre, le Conseil Constitutionnel, le Ministère de la Culture. Elle croise aussi les mines d’or de Salsigne…

Dans l'Aude, elle passe par Peyrolles, Serres, Rennes-les-Bains, Bugarach ...

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